Maitriser la profondeur de champ
Après vous avoir parlé en détail des trois facteurs composant l’exposition en photographie (vitesse d’obturation, ouverture du diaphragme et la sensibilité ISO), j’attaque un autre sujet très important à maitriser pour ceux qui souhaitent apprendre la photographie, une notion de base : la profondeur de champ. Vous le retrouverez souvent dans les forums sous les termes « pdc » ou « dof » en anglais (Depth of field). Pas besoin d’être photographe professionnel et d’avoir un appareil photo reflex à 3000€ pour maitriser la notion.
On en entend beaucoup parler dans le jargon photo mais c’est un paramètre pas si simple que ça à appréhender au départ. Savoir utiliser cette profondeur de champ est indispensable pour donner un effet créatif à vos photos. L’aspect flouté en fond des photos donne plus facilement un côté professionnel.
Dans tous les cas, savoir contrôler ce paramètre vous permet notamment de mettre en valeur un sujet sur une scène précise (le photographier et le faire ressortir en quelque sorte avec un arrière-plan flou). C’est toute la différence avec quelqu’un qui shoote en mode automatique et qui laisse faire son appareil. Vous allez (et devez) être maitre de vos choix artistiques et photographiques. C’est ce que vous allez faire en maitrisant cette notion.

Si vous débutez en photo, vous êtes peut être déjà au courant que le fait d’utiliser une grande ouverture (petit « f/ ») vous permet de jouer sur la profondeur de champ ? Or, ce n’est pas le seul paramètre à prendre en compte. Je vous explique dans cet article :
- Qu’est-ce que la profondeur de champ en photo et l’utilité de la maitriser,
- Comment on la règle sur un appareil photo,
- Quels sont les paramètres qui l’influencent ?

Je te propose de découvrir mes packs de fiches photo pratiques. C'est un moyen simple, sympa et ludique pour apprendre et progresser en photographie, en particulier sur le terrain !
La profondeur de champ, définition et utilité
Rentrons dans le vif du sujet de manière simple et pas trop technique. C’est quoi la profondeur de champ alors ? Pour parler simplement, je définirais cette notion comme la zone de l’image dans laquelle les objets de votre scène sont nets. En réalité, vous avez un certain nombre de vos objets nets et d’autres qui ne le sont plus. On pourrait donc dire que c’est la distance entre le début de vos objets nets et le début des objets flous. C’est clair ou pas ? Ce n’est pas plus compliqué que ça sur le papier.
Vous vous demandez pourquoi maitriser cette notion est important en photographie et dans quels cas on l’utilise ? Commençons par le pourquoi des choses. Si vous avez compris la définition au-dessus, vous devez alors vous rendre compte que maitriser la profondeur de champ sur une photo permet essentiellement d’isoler et de mettre en valeur un sujet sur une photo. Comment ça ? Tout simplement en le faisant ressortir net (ou flou) sur la photo. Si le sujet à mettre en valeur est net (dans la zone de netteté donc), il ressortira tout simplement mieux vis à vis des autres portions de votre image qui seront elles floues.


Deux exemples de domaines où la profondeur de champ est courte : la macro à gauche, la photographie de nourriture à droite
Concernant les domaines où savoir maitriser la profondeur de champ est nécessaire, je citerais :
- La macrophotographie : c’est un domaine particulier, l’idée étant de mettre en avant un détail,
- Les portraits : généralement on s’attardera à faire la mise au point sur un détail de la personne (les yeux par exemple) et on souhaitera flouter légèrement le reste,
- Les photos de nourriture : on croise souvent ce type de photo avec un détail précis sur une portion de l’assiette,
- Toutes les scènes où on aurait un arrière-plan pas très esthétique (ou un premier plan) et où l’on souhaite le rendre flou,
- Enfin, toutes les situations où on souhaite mettre en valeur un détail (partie d’un paysage, scène précise dans une ville, etc.).
Comment régler la profondeur de champ ? Jouer avec l'ouverture
Comme vu en introduction, c’est l’ouverture du diaphragme choisie lors de votre prise de vue qui influence principalement la profondeur de champ sur une photo. C’est en tout cas un paramètre sur lequel vous pouvez jouer dès lors que vous prenez une photo assez facilement.
Comment modifier l’ouverture d’un reflex alors ? Principalement, en vous plaçant en mode « A » (chez Nikon) ou « Av » (chez Canon) pour ne citer que les principaux. Ici, rien de bien compliqué du coup. Vous tournez la molette devotre appareil sur le mode en question et vous devez maintenant jouer sur l’ouverture :
- Plus vous choisissez un « f/ » petit, c’est à dire une grande ouverture du diaphragme, plus votre profondeur de champ sera réduite -> vous avez plus de flou
- A l’inverse, si vous souhaitez une grande profondeur de champ (exemple sur une photo de paysage), vous choisirez une petite ouverture (ex : f/11 ou f/14) -> l’ensemble sera net.

Pour retenir la chose, dites-vous que plus le chiffre derrière le « f/ » sera petit (ex f/2.8) plus vous aurez une faible profondeur de champ. Et inversement. Pour la même photo au même endroit avec le même boitier, la profondeur de champ sera plus courte à f/4 qu’à f/11.
C’est le paramètre principal que vous pouvez gérer simplement. Pour autant, ce n’est pas le seul qui influence la profondeur de champ sur une image.
Les paramètres influençant la profondeur de champ
On vient de voir que l’ouverture photo était un des paramètres principaux pour choisir de flouter par exemple l’arrière-plan et de mettre en valeur un sujet sur une photo. Je vous présente les 4 autres paramètres qui peuvent à leur tour influencer la profondeur de champ.
La distance de mise au point par rapport au sujet
C’est un des quatre paramètres qui influencent le plus la profondeur de champ et la qualité de son arrière-plan (bokeh). Il suffit tout simplement de faire l’expérience de prendre le même sujet à 30cm et à 2m, tout en gardant les mêmes réglages (ouverture), la même distance d’arrière-plan, le même boitier et bien sûr la même focale. La différence est tout simplement notable de suite, au premier coup d’œil. Jugez plutôt les deux photos ci-dessous.
Comme vous pouvez le voir, plus vous êtes proche du sujet, plus la profondeur de champ sera réduite. A l’inverse, plus vous vous éloignez du sujet, plus elle sera grande. Oui, j’ai un enfant de 3 ans donc j’ai pris un de ses jouets 😎). Vous pouvez en effet remarquer que la voiture de mon fils est entièrement nette sur la photo prise à 2m de distance, alors que seule une partie de la même voiture est nette quand j’ai pris la photo à 30cm.


Magnifique chef d’œuvre dans mon salon : à gauche je suis à 30cm du sujet, à droite à 1,5m
Vous vous posez la question de si vous utilisez un zoom peut-être ? Vous pouvez refaire le test. C’est à dire prendre un sujet à une distance d’1m puis de reculer à 3m et de prendre le même sujet en zoomant (pour avoir à peu près le même cadrage que la première). Vous vous rendrez finalement compte que les résultats sont quasi identiques.
Autrement dit, si vous vous reculez plus loin mais que vous utilisez une focale plus longue (en zoomant donc), le rendu en termes de profondeur de champ est le même ou presque. En zoomant, vous réduisez aussi la profondeur de champ. Je détaille ce point là plus-bas.
Distance de l’arrière-plan par rapport au sujet
C’est un autre point important à comprendre en photographie. Retenez la chose suivante : quand vous photographiez, vous allez effectuer une mise au point à l’endroit où vous souhaitez que la photo soit nette. Jusque là, tout va bien. Quand vous regardez en détail, si vous avez choisi une grande ouverture, vous allez vous rendre compte en réalité que la zone floue à l’arrière-plan, n’est pas uniformément floue. Je m’explique. Regardez en détail et vous allez voir apparaître une sorte de dégradé de flou.
Les éléments situés juste derrière votre mise au point seront très légèrement flous et plus vous allez vous écarter de la zone de mise au point, plus ces éléments seront flous. C’est particulièrement flagrant sur un portait serré shooté à pleine ouverture (comprendre avec un petit f/ pour flouter un maximum l’arrière-plan).

Sur la photo ci-dessus, vous vous rendez bien compte que la mise au point a été faite sur les yeux. Dès lors que l’on s’écarte de cette zone de mise au point, le reste du visage va commencer à être légèrement flou (les joues ici ou le nez par exemple). Si vous reculez encore (au niveau de la tempe par exemple), vous voyez encore plus le flou apparaître. Enfin, regardez au niveau des cheveux ou des oreilles, ils sont encore plus flous.

Autre exemple pour illustrer ces propos, une caisse de cerise (j’en rêve d’ailleurs) prise sur un marché. On voit clairement la zone de mise au point au centre de l’image. Au fur et à mesure que l’on s’éloigne de cette zone nette, les cerises sont de plus en plus floues, pour ne plus être presque perceptibles au fond de l’image (seulement de vagues ronds flous…). A noter en plus que le flou n’existe pas seulement en arrière-plan. Vous voyez bien sur l’image que le premier plan, juste avant les cerises nettes, est de plus en plus flou lui aussi au plus on s’éloigne.
On arrive tout simplement à la conclusion que plus votre arrière-plan est éloigné de votre sujet principal (en fait de la zone de mise au point pour être précis), plus cet arrière-plan sera flou. C’est pareil pour un portait, un paysage ou une photo dans un marché. Si vous maitrisez cet élément, vous devriez être en mesure de le mettre en pratique lors d’une prochaine séance de photo. Pour vous aider : rappelez-vous donc que, si vous souhaitez isoler un sujet et le mettre en valeur avec une grande ouverture par exemple, pensez à choisir un cadrage où l’arrière-plan sera le plus loin possible de la zone où vous allez faire la mise au point.
La focale
Troisième point qui influence la profondeur de champ : la focale utilisée. En effet, ce point est en relation avec les deux présentés précédemment. Vous allez vous rendre compte que les longues focales (téléobjectifs par exemple de 100mm, 200mm, 300mm, 600mm), permettent d’obtenir des profondeurs de champ très réduites et cela même avec des petites ouvertures (f/8 par exemple).
Retenez le point suivant : au plus la focale augmente, au plus la profondeur de champ sera réduite. Plus vous avez une focale courte, plus cette profondeur sera grande.

Voici encore un super test réalisé sur une peluche de mon fils. Je suis avec une focale de 250mm et à f/8, soit une ouverture relativement petite. Pour autant, j’arrive à produire un beau flou en fond. Faites le test de shooter à f/8 avec un 15mm, vous n’arriverez jamais à avoir un tel flou. Plus la longueur focale est importante, plus la profondeur de champ se réduit.
Attention cependant, je parle bien de si vous shootez du même endroit. On va prendre un exemple concret pour expliquer la chose avec une preuve par calcul associé ! Vous décidez de vous placer à un endroit précis et de prendre en photo votre enfant situé à 10m de vous avec un 100mm disons à f/2.8 (pour l’exemple), vous obtenez une profondeur de champ de 1,69m. Pour parler simplement, votre photo sera nette sur 1,69m (un peu devant et un peu derrière comme démontré par les chiffres « Depth of field in front » (profondeur de champ devant) et « Depth of field behind » (profondeur de champ derrière). Jusque-là, tout va bien. Maintenant, vous décidez d’utiliser une focale plus courte, un 50mm, pour prendre en photo votre enfant, toujours du même endroit. Votre profondeur de champ va augmenter à 7,62m, donc bien au-delà des 1,69m (que vous obtenez avec votre 100mm). Ce qui vous prouve bien que plus vous utilisez une longue focale, plus la profondeur de champ sera courte (et inversement).
Cependant, il faut bien prendre en compte qu’évidemment, si vous shootez du même endroit, votre champ de vision avec un 100mm sera bien plus réduit qu’avec un 50mm. Sur ce dernier, le cadrage de votre enfant sera bien plus large. Bien sûr, si le sujet (votre enfant) occupe la même proportion dans l’image, la profondeur de champ sera identique avec un 50mm ou un 100mm. Sauf que pour obtenir le même cadrage avec un 50mm que sur un 100mm, vous allez devoir vous avancer beaucoup plus proche de votre enfant. Vous me suivez ? Je vous livre un excellent simulateur de profondeur de champ (plus bas) en conclusion sur lequel vous pouvez vous amuser à voir les différences en fonction de la distance focale utilisée notamment. J’utilise souvent celui-là (duquel sont issues les deux images ci-dessous).


Malgré tout (il faut que j’illustre ça en photo comparative), vous pouvez obtenir la même profondeur de champ avec un 50mm et un 100mm si le cadrage est le même, ce qui ne sera possible qu’en vous déplaçant. Dans le cas présent, avec un 50mm, si vous vous avancez à 5m seulement du sujet, vous obtenez la même profondeur de champ qu’avec votre 100mm à 10m. Mais vous allez quand même vous rendre compte en comparant les deux arrières-plans que celui réalisé avec un 100mm sera plus doux, plus flouté. C’est tout simplement du au champ de vision/focale plus longue qui a tendance à « agrandir » les zones de flou.
La taille du capteur
Denier point que l’on oublie parfois mais qui agit aussi de manière assez importante sur la profondeur de champ : la taille du capteur de votre boitier. En effet, il faut toujours comparer ce qui peut l’être et très souvent les gens ne prennent pas en compte la variation de la taille des capteurs, notamment entre un boitier plein format (24x36mm), un boitier APS-C (15,7 x 23,7) et un boitier MFT (m4/3) de 13 x 17,3mm. Les dimensions sont très différentes, du simple au double entre un boitier plein format et un capteur MFT que l’on retrouve chez les capteurs des hybrides Panasonic et Olympus entre autres.
Je ne vais pas rentrer dans des grands calculs savants pour vous démontrer la chose, mais je vais tenter de vous expliquer l’idée de la manière la plus simple possible avec juste deux copies d’écran de calcul à l’appui. La taille du capteur influence votre champ de vision du sujet. Par exemple, du même endroit, pour obtenir le même cadrage de votre enfant avec un boitier plein format et un boitier MFT, il vous faudra obligatoirement utiliser une focale 2 fois plus courte avec le boiter MFT (il est deux fois plus petit en taille). Exemple : utilisez un 100mm avec un plein format et un 50mm avec un MFT. Le fait d’utiliser une focale plus courte vous fera tout simplement augmenter votre profondeur de champ (comme on vient de le démontrer dans le paragraphe du dessus).
Vous allez me dire, c’est bien beau tout ça, mais et alors ? L’idée, c’est juste de vous montrer que vous ne pouvez pas comparer des profondeurs de champ et donc des flous d’arrière-plan entre différentes tailles de capteur, sans prendre en compte la taille de ce dernier. Si je reprends mon exemple de tout à l’heure et en gardant la même distance par rapport au sujet :
- Sur un boitier plein format, avec un 100mm à f/2.8, vous avez une profondeur de champ de 1,69m,
- Si vous utiliser un boitier MFT avec un 100mm f/2.8, vous obtenez une profondeur de champ de 0,84m (donc plus courte),
- Or, le résultat en termes de cadrage n’est pas du tout le même et la photo réalisée avec le boitier MFT sera beaucoup plus zoomée,
- Pour obtenir le même cadrage avec votre boitier MFT que celui de votre boitier plein format, vous devez utiliser une focale de 50mm (2 fois plus courte),
- Or, dans le cas présent, vous obtenez une profondeur de champ de 3,48m (donc plus de deux fois plus grande qu’avec votre boitier plein format),
- Ainsi, pour le même cadrage (focale) et les mêmes paramètres, vous allez obtenir une photo plus nette partout et moins de flou en arrière-plan avec votre boitier MFT que votre boitier plein format.
Je m’arrête là pour ne pas compliquer les choses, mais il y aurait plus à dire en réalité, notamment comment faire pour trouver la profondeur de champ équivalente entre un boitier plein format et un boiter MTF si vous shootez le même sujet du même endroit (par exemple un chanteur à un concert).


Si vous ne deviez retenir qu’une chose, ce serait que plus la taille du capteur est grande, plus la profondeur de champ sera faible, pour les mêmes paramètres et même cadrage. C’est notamment la raison pour laquelle dans des conditions difficiles de lumière (concert, portrait en intérieur, etc.), le fait de shooter avec un boitier plein format et des optiques lumineuses sera un plus. Exemple : vous essayez de mettre en avant un portait d’une personne en concert et vous shootez disons avec un 85mmm f1/.8 (pour réduire la profondeur de champ et produire un beau flou d’arrière-plan) sur un boitier plein format. Pour obtenir le même rendu avec un boitier MFT et le même cadrage, vous allez être obligé de choisir une focale d’environ 42,5mm (2 fois plus courte), mais aussi une ouverture de f/0,9 (pour obtenir la même profondeur de champ). Or, cet objectif n’existe pas et vous allez devoir vous rabattre vers le 42,5mm f/1.2, mais qui coûte environ 1300€…(alors que le 85mm f/1.8 est presque trois fois moins cher). Vous souhaitez en savoir plus ? J’ai rédigé un article sur la taille des capteurs photo dans la section « Matériel photo du blog ».
Pour comprendre et affiner votre apprentissage sur la notion, je vous invite à passer un peu de temps sur ce simulateur de profondeur de champ.

J’arrive au bout de cet article sur la profondeur de champ, une notion complexe pour apprendre la photo. J’espère avoir été assez clair sur les définitions et les exemples. Si vous souhaitez plus d’informations ou des précisions sur le sujet, n’hésitez surtout pas à laisser un commentaire en bas de l’article. Voici un tableau qui récapitule l’article pour faire simple.
Grande profondeur de champ
Grand « f /» exemple f/11 ou f/14
L’ensemble de la scène sera net
Souvent utile en paysage ou architecture
Ne permet pas de mettre en avant un sujet
Très difficile de flouter le fond
Petite profondeur de champ
Petit « f /», exemple f/1.4,
Une partie de la scène sera floue
Utile pour mettre en valeur un sujet et flouter l’arrière-plan
Plus vous êtes proche du sujet, plus la profondeur de champ est faible
Plus vous utilisez une longue focale, plus la profondeur de champ sera réduite aussi
Si vous ne maitrisez pas encore parfaitement toutes les techniques de l’exposition, un petit rappel de l’ouverture en photo s’impose alors, non ?
A bientôt et bonne photo
Sylvain
Bonjour,
Tout d’abord merci pour votre article clair. Voilà, je débute dans la photographie et essaie de mettre en pratique la profondeur de champ, je possède un colpix p610 et quand je mets une ouverture grande soit f/3.3 mon arrière plan n’est pas flou, pouvez m’apporter des éclaircissements ?
Merci d’avance pour votre réponse.
Cordialement
Cathy
Coucou Cathy,
Disons qu’avec un capteur ci-petit, ton ouverture de f/3.3 correspond en réalité à un f/13 sur un grand boitier de type plein format. Cela sera difficile à vrai dire pour toi de créer de beaux flous. Un conseil, tu peux lire cet article sur le bokeh.
Sylvain
Je débute dans la photo , et encore du mal à dompté mon appareil
Je découvre tes articles à l’instant , la lecture est simple et des explications faciles à comprendre.
Merci à toi
Florence
Coucou Florence,
merci pour ton message. Je suis content que les articles te plaisent. J’essaye de faire simple tout en disant l’essentiel je pense !
Bonne journée,
Sylvain
Merci pour ce très bon article.
Coucou Guillaume,
merci. Je suis content qu’il plaise 🙂
Bonne journée,
Sylvain
Coucou de la Normandie
Merci pour ces articles très pédagogiques. Malgré mon grand âge « 69 ans » je débute en photographie et cela m’est très utile.Je pars pour 3 mois en Colombie et au Mexique.J’espère en rapporter quelques beaux souvenirs’
Pour les etoiles, tout de suite après l’article.
Elisabeth
Coucou Elisabeth,
Merci ! Je suis content que l’article te plaise en tout cas ! profite bien de tes voyages alors. C’est noté pour les étoiles 🙂
Sylvain