La chute du Galion, une très belle cascade
Dans cet article, je continue à vous faire découvrir cette belle île qu’est la Guadeloupe, et plus particulièrement ici l’intérieur de l’île et sa superbe forêt tropicale. Après vous avoir fait visiter le très beau bord de la mer de Basse-Terre lors de la randonnée du Sentier de la Grande Pointe à Trois-Rivières, je vous amène aujourd’hui découvrir la Chute du Galion, au pied du volcan de la Soufrière, dans le Parc National de Guadeloupe.
Nous sommes montés plusieurs fois au départ de la randonnée durant le confinement au mois d’août car nous étions à moins de 5 km du spot, et franchement, l’endroit est superbe (surtout par temps de Covid car il n’y avait presque personne !). J’imagine que durant la haute saison touristique de la Guadeloupe (décembre à avril), ça doit être autre chose, et il suffit de voir le nombre de places de parking en haut, au niveau des “Bains Jaunes”, pour se dire que les lieux doivent être très fréquentés !
Toujours est-il qu’on profite de notre arrivée en Guadeloupe début août et du peu de monde sur l’île (les touristes sont partis) pour découvrir tous les spots plus ou moins classiques des guides touristiques. Parmi les lieux à visiter, la Chute du Galion demeure un immanquable selon un bon nombre d’entre eux. Impressionnante par ses 40m de hauteur, elle reste cependant largement moins visitée que les randonnées aux Chutes du Carbet (il y en a trois), dont je vous parlerai bientôt, lorsque nous aurons fait la première.
Comme à notre habitude maintenant ou presque, il m’aura fallu y retourner deux fois pour pouvoir écrire cet article, et surtout prendre les photos que je voulais faire. La première fois, c’était avec Louis, mon aîné de 5 ans et demi. Pour ceux qui se le demandent donc, j’en parle plus bas, c’est une randonnée tout à fait faisable avec un enfant et même avec un bébé dans un porte-bébé. Cependant, la fin sur les rochers assez glissants avec quelques cordes devra attirer votre vigilance. Mélanie me dirait sûrement que ce n’est pas très sûr d’y aller avec un bébé, mais bon, c’est comme ça les mamans je crois… (et puis entre nous, elle n’y est pour l’instant pas allée, alors hein !). Allez, c’est parti, je vous amène en balade !
Ah oui, je précise bien sûr que, comme d’habitude, vous retrouverez tout le nécessaire pour cette randonnée à la fin de l’article ! Si vous aimez la randonnée et que vous prévoyez de visiter pas mal de coins lors de votre voyage en Guadeloupe, cela vaut clairement le coup d’acheter une carte topographique IGN 1/25 000 (voir le lien carte ci-dessous).
La balade à la Chute du Galion
Comme je le disais ci-dessus, je suis donc allé deux fois faire la randonnée vers cette belle cascade. Lors de notre première balade avec Louis, je pense qu’il avait plu la veille et le chemin était franchement assez glissant, et certains passages bien gorgés d’eau. Quand j’y suis retourné seul la deuxième fois, le sentier était bien plus sec et c’est une balade qui se fait relativement bien.
La randonnée débute au même endroit que de très nombreuses balades dans le Parc National de la Guadeloupe, c’est-à-dire au pied du volcan de la Soufrière. Vous ne pouvez pas aller plus loin en voiture et vous avez l’obligation de vous garer ici, à 900m d’altitude. D’après ce que j’ai entendu, en haute saison, il peut clairement être difficile de se garer tout en haut – sauf si vous arrivez tôt, ce que je conseille de toute manière. En effet, il faut savoir que, comme dans beaucoup d’îles tropicales, les nuages se lèvent souvent en milieu de journée et plus la journée avance, plus le risque de pluie est souvent présent. Bref.
Une fois garé, vous pouvez avancer jusqu’au panneau qui présente l’ensemble des randonnées possibles depuis ce point de départ. Vous avez l’embarras du choix, mais ici on ne parlera que de la randonnée menant à la Chute du Galion. Il est noté 1h15 au niveau du panneau au départ, temps nécessaire donné à titre indicatif pour s’y rendre. Seul, j’ai mis 45 minutes pour arriver au pied en marchant bien. Je dirais qu’une heure à un “rythme normal” doit être la moyenne dans l’ensemble. Avec des enfants en bas âge ou même avec mon aîné de 5 ans, il me faudra même plus.



Le début de la randonnée commence donc en empruntant le fameux chemin du Pas du Roy qui démarre devant le célèbre Bassin des Bains Jaunes. Je vous en parlerai à la fin de l’article, car c’est selon moi un passage obligatoire à la fin de cette randonnée (et de toutes les autres d’ailleurs). Il s’agit d’une zone aménagée (bain) avec de l’eau relativement chaude (30°C environ), idéal pour se dégourdir les pieds après la balade. Mais revenons à nos moutons. Le début de la randonnée se fait sans trop de soucis sur un sentier entièrement aménagé, entièrement pavé (ou presque), le tout à l’ombre d’une forêt luxuriante. L’ambiance est vraiment sympa, très verte et très humide pour le coup. Lorsque j’y suis retourné une deuxième fois, j’étais complètement seul sur ce début de sentier, et j’ai pu entendre le chant des oiseaux et des grenouilles, assez sympa. Le long de ce premier tronçon d’environ 10/15 minutes, vous pouvez apercevoir quelques panneaux d’affichage présentant les lieux, les sources d’eau chaude environnantes, l’historique du secteur, etc. En regardant bien sur votre droite, environ 10 minutes après le début de la randonnée, vous pouvez même apercevoir une source d’eau chaude aux couleurs jaune fluo qui s’écoule sous vos pieds. Vous allez également passer sur plusieurs secteurs aménagés avec des marches, escaliers et autres rambardes en bois. J’imagine que l’ensemble doit être bien entretenu, car il pleut énormément dans ce secteur et tout s’abîme très vite.
Environ 15 minutes après le départ des Bains Jaunes, vous devez quitter le fameux chemin du Pas du Roy (qui monte sur la gauche) pour suivre le panneau indiquant “Chute du Galion à 1h05”. D’ici, le sentier descend tranquillement en pente douce sur environ 1,5/2km. Il n’y a pas vraiment de difficulté en soi, mais vous allez retrouver sur le chemin énormément de racines d’arbres, de zones humides où il vous faut slalomer entre les cailloux, rochers et les planches de bois posées par-ci par-là pour éviter de vous tremper entièrement les pieds. Autant le dire tout de suite, s’il a plu la veille (comme c’était le cas lors de notre passage avec Louis), vous allez de toute manière vite finir avec les chaussures mouillées. Il y a simplement trop de passages dans la boue…


Toute la descente est vraiment très sympa. Vous n’avez plus qu’à observer la végétation, toujours aussi belle, et faire attention où vous mettez les pieds. Plusieurs passages sont aménagés quand ils sont jugés comme trop délicats, et on retrouve les aménagements en bois recouverts d’un grillage en fer, les mêmes que ceux en Nouvelle-Zélande lors de nos balades. C’est un très bon moyen pour ne pas glisser dans des secteurs un peu “casse-gueule”. Lors de votre randonnée sur ce premier secteur, n’hésitez pas à bien regarder autour de vous. On y trouve pas mal de plantes épiphytes dans le haut des arbres, qui ont donc besoin d’un support pour pousser. J’y ai aussi croisé quelques fleurs, des orchidées sauvages. À noter aussi la présence de palétuvier jaune et leurs racines si caractéristiques. Le sentier est entièrement balisé et il est impossible de se perdre. À vrai dire, au vu de la densité de la végétation, il est même impensable de couper à travers la forêt… Sur ce début de sentier, au petit matin, il fait vraiment bon, voire même frais à mon sens !
Au bout d’environ 30 minutes (selon votre niveau de marche), nous attaquons la descente un peu plus technique et raide vers la chute en contre-bas. Nous quittons la direction plein sud que l’on suit depuis le début pour se rendre plein est, en direction de la cascade. Cette section est un peu plus galère que la précédente. On y retrouve pas mal de racines, quelques passages délicats, mais rien de bien fou. Vous allez même croiser une mini ravine (“Ravine Madame Toussaint”). Louis avance plus lentement ici, mais il avance tout de même. Sur ce parcours, et en particulier avant d’arriver au niveau de la rivière du Galion, en contre bas de la chute, on trouve de superbes arbres avec des racines et contreforts impressionnants. Sauf erreur de ma part, il s’agit d’Acomat Boucan, classique dans la région, un arbre pouvant mesurer plus de 40m de hauteur et se reconnaissant notamment grâce à ses racines extérieures gigantesques ! D’ailleurs, je ne l’avais pas fait en Polynésie, mais je me suis promis de réaliser un reportage photo complet de la faune et flore de Guadeloupe. Ce sera toujours intéressant de vous montrer toute la richesse de cette belle île.




Une dernière corde ancrée dans la roche affleurante nous permet de descendre tranquillement au passage à gué de la rivière du Galion. Avec un bébé, il faudra faire attention ici. Avec Louis (6 ans), cela se fait sans souci. Le coin est vraiment très beau et cela vaut le coup de se poser pour profiter de l’ambiance. Vous êtes ici sur la fin de la randonnée puisqu’il ne reste que la montée finale, qui ne prendra pas plus de 15 minutes. En tout cas, la descente s’arrête ici, car le sentier remonte sur la partie finale. Nous traversons le passage à gué et remontons en amont pour aller prendre quelques photos. On y observe une très belle cascade de quelques mètres de hauteur qui s’écoule le long de la roche. Ambiance Tahiti douche. On peut également apercevoir une autre cascade un peu plus en amont.
Nous poursuivons la fin de cette randonnée en empruntant l’escalier qui grimpe dans le versant d’en face (en gros, tout simplement en face de là où vous êtes arrivés). On retrouve toujours de magnifiques arbres, impressionnants par leur taille. Au bout de quelques minutes, on peut déjà observer la majestueuse chute du Galion, au loin entre les arbres. Lors de mon premier passage, je me suis arrêté ici avec Louis, voyant qu’il commençait à fatiguer et qu’il était déjà assez tard. Je ne voulais pas prendre le risque de revenir de nuit, et surtout, je ne savais pas combien de temps il me restait. La vue sur la cascade est magnifique et Louis est émerveillé. Il m’aidera même à installer mon trépied pour faire quelques poses longues, avec mon téléobjectif 70-180mm car je suis trop loin pour shooter avec mon grand angle.



La suite (et fin) du chemin se poursuit. J’arrive au pied d’un petit bassin et de la montagne qu’il faudra maintenant escalader grâce à une corde ancrée encore une fois dans la roche. L’ensemble a l’air récent, ce qui est rassurant, et je m’avance avec mon trépied et mon appareil photo sur l’épaule. Selon la météo, il peut quand même y avoir des risques de glissades. À ce moment-là, le temps est correct sans être superbe. Je monte grâce à la première corde qui m’amène à un premier replat duquel on a déjà un point de vue somptueux sur la cascade. Le soleil n’est pas loin, dommage. Je poursuis le chemin en escaladant la roche grâce à une deuxième corde qui mène quasiment au pied de la cascade. Quelques mètres à faire et nous voilà au pied de la chute, impressionnante avec ses 40m de haut.
Je sens que le temps va se lever. Je m’installe tranquillement avec mon trépied pour une session de poses longues, en attendant que le soleil pointe le bout de son nez. L’endroit est vraiment calme, il n’y a pas un bruit, à l’exception de la chute bien évidemment. La chute se jette au pied d’une paroi où se trouve un petit bassin, pas assez profond du tout pour se baigner, uniquement pour se tremper les pieds. Mes premières photos rendent déjà plutôt bien, mais j’attends toujours le soleil.




Et puis le voilà ! Le temps se lève, le ciel bleu arrive et le soleil vient caresser la falaise et la chute. C’est tout de suite beaucoup mieux pour les photos ! J’avoue avoir le temps puisque Louis a repris l’école, et je m’installe pour une bonne demi-heure avec mon trépied à essayer de trouver des angles originaux pour mes prises de vues. Je bouge de spot en spot au pied de la cascade qui m’éclabousse en partie. Heureusement que j’ai un chiffon pour essuyer un peu l’objectif et les filtres. Bref, voilà quelques photos dont je suis plutôt satisfait. Je vous laisse juger et me dire en commentaire !



Je décide enfin de plier bagage et de revenir tranquillement par le sentier retour. Sur le chemin, je rencontre quelques personnes qui sont en train de réparer certains secteurs du sentier (une entreprise employée par le Parc National de Guadeloupe). Ils m’expliquent être là pour réparer, entretenir et améliorer les passages difficiles du sentier. C’est top. Une belle discussion avec l’un d’entre eux me permettra d’en apprendre plus sur les environs et la vie ici.
Le chemin retour est du coup un peu plus “dur” qu’à l’aller puisque vous n’allez faire que monter. Lors de mon passage avec Louis, il faudra que je le porte un peu pour l’aider car il en a plein les bottes. Quand je suis revenu seul et une fois sur le chemin retour, je sentais le temps se couvrir. Cela n’a pas loupé et je me suis pris une bonne saucée sur la fin, heureusement, au niveau du Pas du Roy. Pour les photographes (et même les autres), c’est vraiment une bonne idée d’amener un K-way ou poncho pour la pluie, et idéalement quelque chose pour protéger votre sac.
Je vous recommande enfin de terminer votre randonnée par une baignade dans les Bains Jaunes, au-dessus du parking. Lors de nos passages, il n’y avait pas grand monde, mais j’ai bien peur que les lieux puissent être pris d’assaut en temps normal (hors Covid et confinement), y compris par des gens qui viendraient juste s’y baigner et non randonner (ce que l’on a déjà fait, nous aussi). En tout cas, profiter d’un petit quart d’heure dans les bains pour se détendre, cela fait un bien fou. Il aura presque fallu crier pour que Louis sorte, tellement il était bien. Il faut dire qu’avec la température relativement fraîche à cette altitude (900m), l’eau est vraiment bonne.
J’arrive à la fin de cette balade. J’espère qu’elle vous a plu en tout cas, et que le récit et les photos vous donneront l’envie d’y aller ! Si vous êtes à la recherche d’une randonnée plus simple mais tout aussi sympathique, voici le Saut du Bras du Fort, à Goyave.
La balade en résumé
- Difficultés : moyenne, pas mal de racines, de roches à escalader et de zones humides où il sera parfois nécessaire de tremper les pieds. Dernière ascension un peu technique avec 2 passages de cordes
- Durée : 3h (variable selon votre niveau)
- Longueur : Environ 5,5 km A/R
- Type : aller-retour
- Idéal : manger au passage à gué peut être très sympa
- Saison : chacun choisira, la saison des pluies apporte plus d’eau dans la cascade
- À penser : Poncho/K-way, chaussures obligatoires, produit anti-moustique, protection pour votre sac à dos.
Nous vous proposons ci-dessous une carte interactive montrant le secteur de la randonnée de la Chute du Galion. Vous pouvez via cette carte regarder toutes les randonnées à faire dans le secteur, celles que l’on a déjà pu faire et celle que l’on a prévu de faire bientôt. Nous avons d’ailleurs rédigé une page résumant toutes les randonnées en Guadeloupe.
Vous pouvez aussi télécharger la trace GPS (.gpx) de la randonnée de la Chute du Galion, en cliquant sur le lien suivant :
Que faire dans les environs ?
Bien évidemment, vous vous en doutez, je n’ai pas encore eu l’occasion de faire toutes les balades du coin. Il y a vraiment du choix et pour tous les niveaux, ou presque. Au programme et au départ des Bains jaunes :
- La randonnée au sommet de la Soufrière (le plus connu),
- La randonnée au sommet de l’Échelle (vous pouvez vous y rendre par la chute du Galion en passant par “la Citerne” ou par la Soufrière),
- La randonnée à la première Chute du Carbet. C’est plus long par ici et plus dur qu’en passant simplement par la deuxième Chute du Carbet (je vous en reparle),
- Les sommets de Carmichaël, Morne du Col et le secteur de la Grande Découverte,
- Plus au nord, partez à la découverte du superbe Canyon Moustique, une randonnée aquatique grandiose !
- Pourquoi ne pas envisager du canyoning en Guadeloupe, hein ?



Côté pratique - À retenir pour randonner à la grande chute du Galion
Comme à mon habitude, je vous dis tout ce qu’il faut retenir sur les aspects pratiques.
Comment aller à la Chute du Galion et se repérer ?
Je fais le rappel à chaque fois, mais bien évidemment, il faudra dans un premier temps vous rendre sur l’île de la Guadeloupe. J’utilise depuis plus de 10 ans déjà le comparateur de vol Skyscanner qui me permet de trouver de super prix.
Depuis la France, il existe des vols directs depuis Paris évidemment, mais aussi par période depuis Lyon et Bordeaux. Si vous êtes flexible sur vos dates de voyage, ce que je conseille toujours pour trouver des vols pas chers, vous pouvez trouver des vols à 350€ aller/retour pour janvier par exemple (c’est la bonne saison en plus). Je vous propose de regarder sur ce lien-là pour trouver les vols les moins chers de France à Pointe-à-Pitre. Vous avez évidemment le choix entre plusieurs compagnies aériennes (Corsair, Air France, Air Caraïbes).
Une fois sur place, vous allez devoir louer une voiture de location pour vous déplacer lors de vos vacances.
En ce qui concerne le site et le début de la randonnée, tout va dépendre d’où vous arriver. Si vous décidez de rester quelques jours dans le secteur, je vous conseille de trouver un hébergement sur les hauteurs de Saint-Claude, je vous en reparle plus bas.
Depuis la ville de Saint-Claude, comptez environ 15 minutes pour monter au Parking des Bains Jaunes, là où vous allez devoir vous garer. Voici l’itinéraire.
Petit rappel, si vous avez un smartphone, vous pouvez :
- Installer l’app Maps.me permettant d’obtenir des cartes hors lignes durant tout votre séjour. Il ne s’agit pas de cartes de randonnées (type IGN que je conseille d’acheter ici), mais de cartes générales. À noter que vous allez cependant retrouver beaucoup de sentiers et que vous pouvez quand même l’utiliser pour vous repérer !
- Installer l’app “Rando Guadeloupe” (Android / Apple) qui pourra vous aider à trouver des randonnées à faire sur l’île (même si j’espère quand même que vous allez trouver les randonnées grâce à notre blog, ahaha). Connexion internet obligatoire, sauf cartes téléchargées hors ligne avant.
Où dormir dans les environs ?
Il y en a vraiment pour tout le monde ici, pour le coup. Je ne connais pas personnellement les lieux, mais j’ai eu de bons retours de :
- Les Cycas : un beau gîte en plein milieu de la nature, dans le Quartier de Matouba
- L’hôtel Saint-Georges : plutôt une bonne réputation pour ceux préférant l’hôtel (sur les hauteurs de Saint Claude),
- La chambre d’hôtes Habitation La Reine du Camp : une belle chambre dans une maison avec vue sur mer, au pied du volcan
J’arrive à la fin de cet article sur la randonnée à la Chute du Galion. J’espère avoir réussi à vous donner la motivation pour partir à sa découverte ! Pour ceux qui recherchent une belle balade dans le coin (bien plus facile et accessible), je vous propose d’aller vous balader en famille au Bassin bleu.
À bientôt,
Sylvain
Super reportage comme d’habitude!
Merci Anita
S.